Impulsée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI et portée par une diplomatie agissante et proactive, cette dynamique innovante et constante vient conforter les droits légitimes du Maroc et la souveraineté intangible du Royaume sur l’ensemble de son territoire, y compris le Sahara.
Elle confirme également l’irréversibilité d’une solution politique à ce différend régional basée exclusivement sur le plan d’autonomie, dans le cadre de la souveraineté nationale et l’intégrité territoriale du Royaume.
Quelque 110 États membres des Nations Unies, dont deux membres permanents du Conseil de sécurité (Etats-Unis et la France), 19 membres de l’Union européenne et de nombreux pays d’Afrique, d’Asie, d’Amérique Latine et du monde arabe, ainsi que des organisations régionales et sous-régionales, ont exprimé leur soutien clair et sans équivoque au plan d’autonomie.
A la faveur de la vision perspicace et avant-gardiste de Sa Majesté le Roi, le Maroc a ainsi vu ses acquis renforcés en cette année 2024 au sein de l’organisation des Nations Unies.
Dans sa résolution 2756 sur la question du Sahara, le Conseil de sécurité a positionné l'initiative marocaine d'autonomie en tant que seule et unique base pour la négociation d’une solution politique à ce différend régional dans le cadre de la souveraineté et l’intégrité territoriale du Royaume.
Cette nouvelle résolution a également consacré, pour la 17è année consécutive, la prééminence de l'initiative d'autonomie, en la qualifiant d’effort sérieux et crédible, tout en demandant à l’instance exécutive de l’ONU de prendre en considération la dynamique internationale et le momentum au profit de l’initiative marocaine d’autonomie qui jouit du soutien international sans cesse grandissant à travers le monde.
Cette consécration sans ambages a été réaffirmée aussi par de nombreux pays, groupements régionaux et pétitionnaires qui se sont succédés au podium de la 4è Commission de l’Assemblée générale des Nations Unies pour apporter leur soutien au processus politique et salué les efforts sincères et sérieux du Maroc, incarnés par le plan d’autonomie.
Tout au long du mois d’octobre, les ambassadeurs et représentants de délégations et de groupements régionaux ont pris la parole pour aussi exprimer leur conviction de la souveraineté du Maroc sur ses provinces du Sud et mettre en avant la prééminence du plan d’autonomie comme seule et unique solution au conflit régional sur le Sahara, ainsi que la dynamique de développement tous azimuts que connaît cette partie chère du Royaume.
Dans la même veine, l’Assemblée générale de l’ONU a réitéré, dans une résolution adoptée début décembre, son soutien au processus politique mené sous l’égide exclusive des Nations Unies pour le règlement du différend régional autour du Sahara marocain, dans le cadre des résolutions du Conseil de sécurité depuis 2007.
Cette résolution, à l’instar de ses précédentes et de celles adoptées par le Conseil de sécurité depuis plus de deux décennies, ne cite à aucun moment le référendum, mort et enterré aussi bien par le Secrétaire général de l’ONU que par l’Assemblée générale et le Conseil de sécurité des Nations Unies.
Plus encore, cette résolution bat en brèche les mensonges et les fabrications de l’Algérie et de son pantin le "polisario" au sujet de la situation au Sahara marocain, caractérisée par la quiétude, la stabilité et le développement tous azimuts.
Ces positions en soutien à la souveraineté irréfragable du Maroc sur son Sahara ont été également clairement exprimées lors de plusieurs des entretiens que le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, a eus avec ses homologues et hauts responsables d'États membres, en marge de sa participation à la 79è session de l’Assemblée générale de l’ONU qui s’est tenue en septembre dernier à New York.
Ces percées diplomatiques du Maroc dans le dossier du Sahara renseigne à juste titre sur une approche novatrice, portée par un engagement sans faille de Sa Majesté le Roi aux principes sacro-saints de la souveraineté et de la justice.