Lors de cette réunion présidée par Habib El Malki, président du CSEFRS, la directrice du Centre national pour la recherche scientifique et technique, Jamila El Alami, a présenté un exposé sur "L'état de la recherche scientifique et de l'innovation dans le domaine de l'eau", indique le Conseil dans un communiqué.
Dans sa présentation, la responsable a passé en revue les nouveautés de la recherche scientifique dans le domaine de l'eau, soulignant le rôle vital joué par la recherche scientifique et l'innovation dans la résolution des problèmes liés à la pénurie d'eau et au changement climatique, relève la même source.
La participation de Mme El Alami à cette réunion vise à approfondir la réflexion sur la manière dont le Conseil peut contribuer à relever les défis actuels liés aux ressources en eau dans le pays, en encourageant la recherche scientifique et la formation dans les domaines vitaux liés à l'eau, ainsi que l'innovation pour développer des solutions écologiques durables dans le but de valoriser les ressources en eau, poursuit le communiqué.
Les discussions ont également porté sur le "document de la nouvelle école", élaboré par un groupe de travail spécial.
Ce rapport se penche sur un certain nombre d'indicateurs relatifs à l'évaluation des réalisations et des efforts à fournir pour mettre en place une école de qualité qui favorise l'équité et le progrès individuel et sociétal, en droite ligne de la Vision stratégique 2015-2030 et de la loi-cadre y afférente.
Les conclusions du rapport ont été soumises à la sixième session du second mandat de l'Assemblée générale du Conseil, prévue en décembre prochain.
Lors de cette réunion, il a été procédé à la présentation du rapport préparé par l'Instance nationale d'évaluation du Conseil sur "l'Atlas territorial des infrastructures scolaires".
Cet "Atlas territorial" dévoile, au moyen de schémas et de cartes géographiques, les disparités existantes sur la base d'un indice composite développé par l'Instance dans le but de fournir des informations précises sur la qualité et la disponibilité des infrastructures de base.