Jadis réservée aux femmes mais alors généralisée, la course de barils combine l'athlétique et l'artistique. Le cavalier doit manœuvrer son cheval autour de trois barils. Vue de haut, ils forment un trèfle. Il est permis de toucher à un baril. Si la cavalier le fait tomber, il écope d'une pénalité (+5 secondes).
Disposant des meilleures cavaliers du Royaume, l'École Royale de Cavalerie des Forces Armées Royale a produit une prestation inouïe pour le grand le plaisir des spectateurs.
Dans ce sens, le Colonel Jaouad Yacoubi de l'Arme cavalerie a souligné que "le jeu de barils combine capacité athlétique du cheval et compétences du cavalier à conduire sa monture en toute sécurité et avec maniabilité".
Techniquement, il s'agit d'une discipline d'équitation Western pendant laquelle les jeunes cavaliers de l'École Royale de Cavalerie et leur montures sont jugés sur leur habileté à tourner le plus rapidement possible autour des barils, a-t-il expliqué.
"Les barils sont disposés de façons à former un carreau autour duquel les couples tentent de compléter un motif prédéfini", a poursuivi le Colonel Yacoubi.
Un quarter horse est le cheval typique des courses de barils, mais pas que... Sport très exigeant athlétiquement conséquemment à la vitesse de sprint et les virages agiles, le cheval doit avoir des os du canon courts et des jarrets bas.
Le Top des chevaux de courses de barils sont le plus souvent calmes. Ils sont habitués à une variété de sites et de rodéos. Ils peuvent être montés avec une main et sont toujours prédisposés à courir.