Les sessions ont concerné le réseau autoroutier des régions de Beni Mellal-Khénifra, Marrakech-Safi, Tanger-Tétouan-Al-Hoceima et Fès-Meknès, indique ADM dans un communiqué.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre du programme Al Ard, déployé par ADM, depuis une dizaine d’années, et qui vise à protéger les talus autoroutiers contre l’érosion hydrique et à les stabiliser moyennant des plantes autochtones, sélectionnées après de nombreuses recherches en génie biologique, précise la même source.
Dans ce sens, ADM a décidé d’associer les agriculteurs riverains à l’autoroute dans le processus de multiplication et de production de semences et plantes autochtones dédiées à la stabilisation des talus autoroutiers créant ainsi une activité génératrice de revenu dans le cadre d’une nouvelle chaîne de valeur, explique le communiqué.
Ces sessions avaient pour objectif d’introduire aux agriculteurs riverains cette nouvelle chaîne de valeur, d’expliquer les opportunités qu’elle pourrait leur offrir dans un contexte de stress hydrique, et d’exposer les multiples avantages de la multiplication des semences et des plantes autochtones, selon ADM.
Ont profité également de ces séances des étudiants de l'Institut des Techniciens Spécialisés en Agriculture (ITSA) afin de les initier à ces pratiques innovantes et durables.
"Ces actions relèvent de la stratégie de développement durable et RSE d’ADM, et témoignent de son engagement à faire de l’autoroute un passage heureux", conclut le communiqué.