Ils ont aussi insisté sur la nécessité de renforcer les partenariats entre les secteurs public et privé et de consolider l'action collective à l'échelle locale, régionale et internationale, en vue de réussir la transition énergétique et réduire les émissions des gaz à effet de serre.
Lors de ce panel, initié par le centre Roi Abdallah des études et recherches pétrolières en partenariat avec la Banque Mondiale, ils ont mis en avant les avantages de l’hydrogène vert et de ses dérivés, notamment la capacité de sa commercialisation et la sécurité de sa chaîne de valeurs, contrairement aux énergies fossiles.
Ils ont, en outre, souligné la nécessité de la transition vers un système d'énergie plus propre et plus durable, estimant que l'hydrogène vert figure parmi les projets ambitieux et pionniers dans le secteur des énergies renouvelables, dans un contexte marqué par l'orientation mondiale vers les énergies propres pour lutter contre le changement climatique.
Les énergies renouvelables sont considérées comme nécessaires pour le renforcement des indicateurs du développement durable, eu égard à leur rôle positif dans la lutte contre la pollution et la diversification des sources de consommation d'énergie et ce, malgré les coûts de production qui dépassent ceux des énergies fossiles, ont-ils dit.
Les panélistes ont également insisté sur l'impératif d'encourager le secteur privé à investir dans ce domaine, notant que la création de zones libres pour la production de l'hydrogène demeure un facteur essentiel pour promouvoir ce secteur stratégique.
A cet égard, ils ont indiqué que l'unification des lois et politiques relatives au domaine de l'hydrogène et l'utilisation du critère de la neutralité carbone demeurent une priorité pour inciter le secteur privé à augmenter ses investissements en la matière.