Cette convention, qui intervient suite aux Hautes orientations de SM le Roi Mohammed VI, visant le renforcement des actions de la prise en charge médicale et de la protection sociale des enfants, et en particulier ceux en situation de précarité, "vise à contribuer au soutien financier de fonctionnement des structures d’accueil de cette catégorie d’enfants, en vue d’améliorer la qualité de sa prise en charge médicale et de renforcer les services de soins, de réhabilitation et de suivi psychologique des cas pathologiques, en application du Plan National de la Santé des Enfants et des Jeunes 2022-2030", indique un communique de la LMPE.
En vertu de ce partenariat, les pensionnaires des structures d’accueil de la Ligue bénéficieront de l’Assurance Maladie Obligatoire (AMO), notamment en ce qui concerne les soins hospitaliers, les examens médicaux, les soins d’urgence et le renforcement des structures de prise en charge médicale des personnes en situation de handicap, dans le cadre du Chantier Royal visant la généralisation de la couverture sociale, explique le communiqué.
À cette occasion, SA la Princesse Lalla Zineb a salué la précieuse collaboration avec le ministère de la Santé et de la Protection sociale et les résultats probants réalisés par les différents services de santé, en faveur des enfants en situation de vulnérabilité, tout en exprimant son souhait de voir se renforcer cette collaboration et s’élargir à tous les Centres de la LMPE, implantés dans les différentes régions du Royaume, conformément aux Hautes orientations de SM le Roi Mohammed VI, souligne la même source.
Pour sa part, le ministre de la Santé et de la Protection sociale a affirmé sa détermination à œuvrer davantage pour renforcer la coopération entre son département et la Ligue Marocaine pour la Protection de l’Enfance, en vue d’assurer des prestations médicales de qualité au profit des différents pensionnaires, aussi bien sur le plan préventif que curatif, dans le droit fil des orientations Royales visant la promotion des droits de l’enfant et en particulier le droit à la santé, conclut le communiqué.