«J'ai récemment soutenu une initiative visant à améliorer les relations entre l'Union européenne et le Royaume du Maroc, et à cet égard je considère que les arrêts rendus le 29 septembre par le tribunal européen ne reflètent guère les bonnes relations entre les deux parties et encore moins la position de l'UE, qui est mise à rude épreuve notamment en termes de crédibilité et de ses intérêts stratégiques», écrit M. Bliznashki dans un communiqué.
Il affirme partager l'opinion, exprimée dans la déclaration commune du Haut représentant de l'UE pour les Affaires étrangères et la sécurité Josep Borrell et du ministre marocain des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita qui précise que le Maroc et l’UE resteront «pleinement mobilisés » pour poursuivre la coopération bilatérale dans un climat de sérénité et d'engagement.
Cette déclaration, a-t-il ajouté, est «une preuve supplémentaire de la solidité des liens entre l'UE et le Maroc», se disant convaincu que les deux parties «vont s'unir contre ceux qui s'opposent au partenariat UE-Maroc».