"Se rendre aux urnes est une manière pour la population de ces régions de prouver qu'elle fait partie intégrante du Maroc", a souligné M. García qui s’exprimait devant la 4è commission de l’Assemblée générale de l’ONU, précisant que sa participation à ce triple scrutin témoigne d’une identité collective, d’un sens élevé de civisme et d’une adhésion claire au processus démocratique.
Il a aussi précisé que le Maroc a permis aux populations de ces régions de jouir d'une vie démocratiquement normale à travers l'organisation des élections, soulignant l'importance des investissements réalisés dans cette partie du Royaume.
D’autre part, il a regretté l'absence d'un cadre juridique clair régissant la vie des séquestrés des camps de Tindouf, soulignant que cette situation est exceptionnelle et sans précédent en droit international.
Il a ajouté que "la situation dans les camps de Tindouf relève de l'absurde, qualifiant de "nécessaire" et d'"urgent" l'organisation d'un recensement de la population dans ces camps.