Organisée par l'Association Le Grand Atlas, en collaboration avec le ministère de la Culture, de la Jeunesse et des Sports, cette nouvelle édition ravira les amoureux des arts populaires à travers le Maroc et à l’international, après la crise sanitaire du nouveau coronavirus (Covid-19).
Véritable action culturelle de préservation du patrimoine marocain, cet événement emprunte une forte conscience culturelle. Au cœur du palais Badii, monument historique séculaire, œuvre Saâdienne du 16ème siècle, les arts populaires remettent le spectateur au fond d’une authentique fusion artistique fraternelle à travers les origines de tout un chacun, lit dans le communiqué des organisateurs.
Il s’agit véritablement d’une rénovation en profondeur d’un patrimoine aux multiples facettes artistiques et aux dimensions sociales et spirituelles, ajoute-t-on de même source.
Le FNAP, dénominateur commun de ce riche héritage culturel et patrimonial, les confluences du gestuel et la noblesse du symbolisme s’y greffe à travers l’histoire de la ville et ses grands moments festifs.
Ce Festival, qui célèbre depuis plus de 50 ans, les arts populaires à travers toutes les régions du Royaume, a su résister à travers le temps grâce à son impact émotionnel qui embrasse l’âme marocaine.
Tonalités et couleurs chatoyantes, il a marqué et marquera le cycle vital de l’histoire grandiose du Royaume, notent les organisateurs, faisant observer qu'il s'agit de tout un héritage sous le créneau de l’originalité et de la diversité.
"Organiser cette 51ème édition du Festival National des Arts Populaires après la crise sanitaire induite par la Covid-19 est plus qu’une promotion de la cité ocre et du patrimoine culturel national. C’est un véritable défi du temps par l’authenticité des arts ancestraux qui demeurent encore plus vivants au fil des années", concluent les organisateurs.