Cette attitude est "aux antipodes de la logique de l'histoire et aura des conséquences sur ce qui a été construit durant des années au niveau des relations bilatérales", a regretté M. El Khalfi, président de la commission du Sahara marocain au sein du Parti de la Justice et du Développement (PJD), dans une déclaration à la presse, relevant que "cela intervient dans une conjoncture marquée par la violation par ces milices séparatistes du cessez-le-feu".
"Il est encore temps pour l'Espagne d'interagir positivement avec les questionnements soulevés par notre pays afin de rectifier le tir et tourner cette page qui n'honore nullement sa politique prônée dans ses relations avec le Maroc", a souligné l'ancien ministre.
Et de rappeler la position "ferme" du PJD qui a rejeté l'attitude de l'Espagne et mis en garde contre "la gravité de cet acte sans précédent et intolérable".