La décision jordanienne, annoncée en novembre dernier par le souverain hachémite Abdellah II, est la dernière en date d’une liste de pays qui ont exprimé leur appui à la souveraineté du Royaume sur son Sahara, ajoute la publication chilienne, qui rappelle dans ce sens la reconnaissance américaine de la souveraineté du Maroc sur ce territoire et leur affirmation que l’initiative d’autonomie est la « seule solution à ce différend artificiel » autour du Sahara.
Qualifiant le Sahara « de territoire historique du Maroc », ElPeriodista rapporte les propos du professeur de droit international jordanien Omar Mahmoud Amr, selon lequel la décision jordanienne est une réaffirmation du droit historique du Maroc sur ce territoire et de la souveraineté constante et complète du Royaume sur la totalité de ce territoire, en pleine harmonie avec le droit international.
Il s’agit aussi, selon la même source, d’une consolidation du bloc arabe face à des questions cruciales ainsi que le reflet de la solidité des relations fraternelles, ancrées dans l’histoire, entre les deux pays frères.
« La consolidation de la souveraineté du Maroc sur ce territoire est en mesure de donner un coup d’accélérateur au développement de toutes les régions du Maroc de sorte à promouvoir la prospérité, le progrès et l’épanouissement des populations de ces régions », souligne l’universitaire jordanien cité par ElPeriodista.
Le consulat jordanien est le onzième du genre à ouvrir ses portes dans la ville marocaine de Laayoune en moins d’un an. D’autres consulats sont déjà installés à Dakhla, rappelle le site d’information chilien.