Dans des communiqués conjoints lus à cette occasion, ces acteurs ont salué la position "résolue" du Maroc, sur Hautes Instructions de SM le Roi, Chef Suprême et Chef d'Etat-Major Général des FAR, pour rétablir la circulation des biens et des personnes.
Ainsi, les fédérations des traiteurs professionnels au Maroc ont salué les décisions sages du Souverain pour faire face aux agissements des ennemis de l'intégrité territoriale.
Ces organisations ont réitéré leur soutien total aux efforts de l'Etat marocain visant à faire respecter les résolutions des Nations Unies relatives au maintien de la sécurité et de la stabilité dans la région.
Pour sa part, la Confédération marocaine des marchands de poisson a salué l’intervention des Forces armées royales (FAR) pour la sécurisation de ce passage frontalier et la mise en échec des complots ourdis par les ennemis de l'intégrité territoriale.
La Confédération s’est félicitée également des positions de la communauté internationale et des pays frères et amis en soutien à la première cause nationale.
De son côté, l'Union générale des commerçants et professionnels du Maroc a salué l’intervention pacifique des FAR contre tous ceux qui tentent de porter atteinte à la sécurité économique et à la paix sociale du Royaume.
Cette organisation professionnelle a condamné les agissements provocateurs des séparatistes visant à porter atteinte à l'économie marocaine et d’obstruer le trafic commercial entre le Maroc et les pays subsahariens amis et frères.
Quant aux acteurs associatifs de Dakhla Oued Eddahab, ils ont exprimé leur soutien absolu à l'intervention pacifique du Maroc, ayant permis le rétablissement de la circulation des biens et des personnes entre le Maroc et la Mauritanie.
De même, ils ont condamné les agissements des séparatistes trois semaines durant, ayant procédé au blocage de la circulation dans la zone tampon d’El Guerguarat, sur la principale route reliant le Maroc et la Mauritanie, malgré les appels du Secrétaire général des Nations Unies et de plusieurs pays enjoignant au "polisario" de retirer ses milices de la région.