L'association «Asli, des femmes une tradition», a ainsi exprimé son « soutien total » aux mesures prises par le Maroc pour débloquer le passage au poste frontalier d’El Guerguarat et y permettre la libre circulation des personnes et des biens.
L’association, basée en Ile-de-France a, dans un communiqué, rendu hommage à « l’action héroïque et hautement responsable des Forces Armées Royales », affirmant se mobilier derrière SM le Roi Mohammed VI, dans la défense de l’intégrité territoriale du Royaume.
De son côté, l’Association Mémoire France Maroc (AMFM), basée à Meaux, également en Ile-de-France a souligné que « le Maroc a toujours fait preuve de respect des conventions internationales concernant la gestion de la crise d'El Guerguarat.
« Située à la frontière avec la Mauritanie, le blocage de cette zone tampon, opéré par des mercenaires à la solde des dirigeants de l’Algérie, ne pouvait plus durer tant pour le Maroc que pour nos pays frères voisins africains. Légitimement, le Maroc se devait d’agir et de dégager ces terroristes. La fulgurante intervention des Forces des Armées Royales a été réalisée avec professionnalisme », a affirmé l’association dans un communiqué.
Tout en saluant la décision du Maroc de mettre de l’ordre dans cette zone, l’association a affirmé soutenir toute action du Royaume en vue de préserver son intégrité territoriale. L’AMFM a également salué « vivement la réaction de tous les pays et organisations internationales qui ont manifesté leur total soutien à l’action de notre pays ».
"Aujourd’hui plus que jamais il est temps d’expliquer l’Histoire territoriale de notre pays, tant aux nouvelles générations qu’aux précédentes aussi bien au Maroc qu’à l’échelle internationale", souligne l’AMFM qui milite pour la sauvegarde de l’histoire commune entre le Maroc et la France, particulièrement le pan relatif aux soldats marocains tombés au champ d’honneur pour la libération de la France durant la Grande Guerre.
"L’objectif est de couper court au mensonge et au délire pratiqué par les mercenaires du polisario, financés et nourris par quelques pays qui, à la vue de leur situation socio-économique, feraient mieux d’investir dans le développement de leur propre nation", affirme l’AMFM.