"Tous les pays participants ont accepté la possibilité de prolonger d'un mois supplémentaire la première phase des ajustements de la production de mai et juin", a indiqué l'organisation dans un communiqué à l'issue de deux rounds de négociations par visioconférence.
Face à la chute brutale de la demande et des prix du brut, les membres du cartel et leurs partenaires s'étaient engagés le 12 avril à une réduction historique de leur production de 9,7 millions de barils par jour (mbj) pour les mois de mai et juin, qui devait passer à 7,7 mbj à compter du 1er juillet et jusqu'à décembre, puis à 5,8 mbj de janvier 2021 à avril 2022.