- Création d'un Fonds de relance de 500 milliards d'euros destiné en priorité aux secteurs et régions du continent les plus touchés par l'épidémie et qui serait financé par des emprunts sur les marchés réalisés par la Commission européenne "au nom de l'UE".
- L'agent de ce fonds sera ensuite reversé en "dépenses budgétaires" aux pays européens et "aux secteurs et régions les plus touchés".
- Renforcement de la souveraineté sanitaire de l'Europe afin d'augmenter les capacités de recherche et développement dans le domaine des vaccins et des traitements.
- Coordination des politiques européennes en matière de marchés publics communs pour les vaccins et traitements futurs.
- Création d’une "task force" de l'UE chargée de la santé au sein du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies pour "élaborer des plans de prévention et de riposte" en cas d'épidémie.
- Accélération des transitions écologique et numérique et accroissement de la résilience et de la souveraineté économiques et industrielles de l’UE.
- Nouvel élan au marché unique, soutien de la diversification des chaînes de valeur en promouvant un agenda commercial ambitieux et équilibré, articulé autour de l’OMC.
- Adaptation de la stratégie industrielle de la Commission à la reprise et modernisation de la politique européenne de concurrence en accélérant l’adaptation des règles en matière d’aides d’Etat et des règles de concurrence.