En réaction à ces rumeurs véhiculées par des sites locaux et des pages Facebook, la DGAPR souligne qu’il s’agit de mesures proactives prises par les autorités sanitaires compétentes en vue de s’assurer que ces établissements pénitentiaires ne comptent aucun cas d’infection au coronavirus.
Des échantillons ont été relevés chez des fonctionnaires et pensionnaires des trois établissements pour être analysés au laboratoire, précise la même source, en insistant qu’il ne s’agit nullement de cas suspects ou confirmés.
Mettant en garde contre la poursuite de la diffusion de "fake news" relatives aux cas fictifs d’infection au covid-19 au sein des établissements pénitentiaires, la Délégation souligne qu’elle tient toujours à tenir l’opinion publique informée de tout développement en relation avec ce sujet et elle se réserve le droit de recourir à la justice à l’encontre de ceux qui font circuler ces fausses informations.